« Le Nom de mon père, essem abi » ; un roman qui retrace l’histoire de Bassam Al Jallil, jeune libanais de dix-neuf ans, qui commence à Cana al Galil, sud Liban, le 30 juillet 2006, par une belle nuit d’été, où la violence et la soudaineté des bombardements sont indescriptibles.
Pour Bassam, la vie se fige, la mort s’abat. Six années plus tard, c’est en Europe, loin de ses terres et de ses origines, qu’il essaye tant bien que mal de survivre au traumatisme qui l’a frappé.
Sa rencontre avec Camille va venir bouleverser son fragile quotidien.
L’amour pourra peut-être enfin l’aider à se reconstruire et reprendre goût à la vie.
Juliette Elamine, franco-libanaise de 31 ans, orthophoniste de formation, vient de publier son premier roman « Le nom de mon père : essem abi », aux éditions Librinova.
Jeune auteure de romans et nouvelles, ses écrits ont pour toile de fond, le Liban. Son origine libanaise est héritée de son père, dont l’histoire a inspiré cette première fiction.
Symbolisés par les destins de ses personnages, c’est son attachement à ses origines et son amour pour le pays qu’elle veut transmettre. Elle partage son univers sur les réseaux sociaux, ainsi que sur son blog, accessibles à cette adresse : https://linktr.ee/lesmotsduliban
Le livre est disponible à la commande dans la majorité des librairies de France. A Paris, on le trouve dans les rayons de la librairie La terrasse de Gutenberg (12ème).
Juliette a choisi de verser tous les bénéfices de ses ventes à l’opération solidaire « Ensemble pour Beyrouth » qui œuvre pour le pays ; notamment depuis l’explosion du port le 4 août 2020.
Un choix évident pour elle, qui avait à cœur de se sentir active, pour soutenir son pays, qui traverse une crise sans précédent.
La jeune auteure espère porter ce projet le plus loin possible, et soutenir Beyrouth et le Liban, à travers sa passion pour l’écriture.